Aujourd'hui je vais seulement citer des extrait d'un article wikipedia, et mettre des commentaires sur les citations, si j'en ai envie. Alors ça commence comme ceci:
L'invasion du Timor oriental commence le 7 décembre 1975 lorsque les forces armées indonésiennes envahissent ce pays nouvellement indépendant en prenant le prétexte de la lutte contre le colonialisme. Le renversement de l'éphémère mais populaire gouvernement dirigé par le Front révolutionnaire pour l'indépendance du Timor oriental (Freitilin) marque le point de départ d'une occupation violente de vingt-cinq années au cours de laquelle entre 60 000 et 100 000 soldats et civils est-timorais trouvent la mort.Ici, ce qui me saute aux yeux, c'est l'idée-même qu'une armée prendrait un prétexte pour aller au combat. Le rôle d'une armée pacifique, c'est de protéger la population de sa nation, et de n'agresser que si c'est nécessaire. En tenant ce rôle, la compassion pour la vie humaine peut aller jusqu'au sommet de la chaîne de commandement, et ainsi s'assurer que les plus hautes instances des Armées soient capables d'évaluer toute la situation, avant d'entrer dans un combat où il pourrait y avoir perte de vies humaines.
Et là, la raison pourquoi ça m'a sauté aux yeux, c'est le prétexte invoqué de "lutte contre le colonialisme". Le colonialisme étant une idéologie, lutter contre le colonialisme est également une idéologie, puisque seuls les idéologues sont suffisamment motivés pour reconnaître une menace dans quelque chose que tout le monde se fout ou devraient se foutre!
J'ai alors cherché encore un peu, et là, kaboom! En 1975, l'Indonésie était sous dictature. Un dictateur est quelqu'un qui dicte quoi faire. Ceux et celles qui sont tenus de faire les dictées doivent les faire sans pouvoir revenir ensuite en arrière, puisqu'une fois une dictée administrée, ce sont ceux et celles qui ont faits des erreurs dans les dictées imposées qui doivent en assumer les fautes, et non pas le maître ou la maîtresse. Dans ce cas précis, le dictateur en question était un dénommé Soeharto (je n'ai pas trouvé d'autres noms pour l'instant, mais qu'un dictateur comme ça n'ai que ce sobriquet pour se distinguer et se faire identifier par la parole ou les écrits, c'est un peu bizarre, pour le moins qu'on puisse dire).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Soeharto
En décembre 1975, l'armée indonésienne envahit et annexa le Timor oriental, ancienne possession coloniale portugaise, « avec la complicité diplomatique des États-Unis et aussi avec leurs armes » selon l'Américain Noam Chomsky, mais aussi du Royaume-Uni, de l'Australie et de la France. Cette invasion fit 200 000 morts7.
Assez étrange. J'aurais pensé que le Canada aurait été complice dans cette affaire. Mais non, c'est plutôt la France qui me déçoit ici (eh oui, encore). Et l'Australie, que vient-elle faire ici? Peut-être qu'elle a honte de ses indigènes, cette Australie. Peut-être, qu'elle ne veut pas en fait que se sache son terrible secret? Parce que si le Canada s'est fait très fort tapé sur les doigts pour ses mauvais traitements envers les esprits libres autochtones du territoire administré par les colons venus d'Europe, et puisque le terroire administratif de l'Australie est composé de comptables colons venant eux-aussi d'Europe, je ne vois pas pourquoi l'Australie aurait un 'free-pass' là où le Canada n'en avait pas eu. Qu'en pensez-vous?
Et pour être honnête avec vous, si ce nom me disait quelque chose, c'est que je me souviens que dans la deuxième moitié des années 90, le Canada avait accueilli ce mauvais homme, à Vancouver je crois, et ça avait fait un peu scandal à l'époque...
Et là, encore plus wierd. Sur l'adresse des archives de Radio Canada, on peut voir que le nom de ce dictateur était écrit Suharto, à l'époque, et non Soeharto. Quand j'avais fait cette recherche, le premier lien en haut de la page des résultats, était celui d'un certain Darus Suharto, un joueur de poker Canadien qui habite à Toronto, mais qui est né...en Indonésie. Vous y comprenez quelque chose, vous?
On continue...
Le Timor oriental revendique sa spécificité territoriale du fait qu'il faisait partie de l'Empire portugais alors que le reste du Timor, et l'archipel indonésien plus généralement, ont été colonisés par les Néerlandais, un accord divisant l'île entre les deux puissances européennes ayant été signé en 1915. En collaboration avec des chefs locaux, les Portugais mirent en place un système de travail forcé qui concerna l'entièreté de la population mâle en âge de travailler dès le début du xxe siècle. Le régime colonial fut remplacé par les Japonais durant la Seconde Guerre mondiale ; cette occupation stimula un mouvement de résistance dont la répression fit 60 000 morts, soit 13 % de la population d'alors. À la fin de la guerre, les Portugais rétablirent leur contrôle sur la région, tandis que le reste de l'île proclamait son indépendance.Là, on a du jus. Le Timor oriental avait bel et bien été colonisé autrefois par un empire. Mais cet empire, plutôt que d'être mue par des têtes carrées, s'était bâtie une identité latine de par l'origine de sa langue. Le reste du Timor avait été colonisé par un pays dont la langue d'usage a des racines plus germaniques que latines (tout comme l'anglais, d'ailleurs, même si beaucoup d'anglophones ont des têtes rondes comme les nôtres, puisque la langue anglaise ayant tellement emprunté de mots des dives langues latines, et en particulier du français, c'est évident alors que les États-Unis, pour ne pas les nommer, sont plus tolérant envers les formes rondes ^^)
Encore intéressant. Seule la population mâle en âge de travailler était forcé de travailler sous l'occupation Portugaise une fois l'idéologie industrialiste implanté partout sur notre cailloux. Mais c'est lors de la seconde guerre mondiale, et le remplacement du régime colonial Portugais par le Japon, que ça a commencé à dégénérer. Très étrange, tout cela. Vraiment très étrange, vous ne trouvez pas?
Continuons...
En plus de ses actions militaires, l'Indonésie met en place une administration civile. Le Timor oriental bénéficie alors d'un statut similaire aux autres provinces avec une structure gouvernementale identique. Elle est divisée en kabupaten(départements), eux-mêmes sous-divisés en kecamatan (districts) puis en desa (villages) comme en Indonésie. En donnant aux chefs tribaux des positions de pouvoir dans les nouvelles structures, les Indonésiens espèrent les assimiler plus rapidement. En effet, bien que bénéficiant en théorie d'un régime similaire aux autres provinces, le Timor oriental est en fait dirigé par l'armée indonésienne. La nouvelle administration construit de nouvelles infrastructures et augmente la productivité grâce à des investissements. La productivité dans les domaines du café et du clou de girofle double mais les fermiers est-timorais sont contraints de vendre leurs productions à bas prix dans les coopératives des villages.
Un peu comme le Québec, on dirait. Sauf qu'ici, depuis notre annexion à la supériorité des caprices idéologiques des têtes carrées, nous n'avons vu l'armée dans la population dite blanche, qu'un seule fois, je crois. C'était lors de la fameuse crise d'octobre 1970 (terrorisme. FLQ, etc, peut-être dans un prochain écrit ^^^). Un dernier point avant de passer au prochain extrait. La civilisation, c'est l'action accomplie du civilisationisme, qui n'est rien d'autre qu'une idéologie. Eh oui, encore! Là, on peut aller avec notre imagination itou. Peut-être qu'un civil n'est rien d'autre qu'un vice dans un vie, qui empêche l'Être d'être son propre agent de décisions? Ainsi, peut-être qui ça le rends susceptible, jsutement, de devoir faire des dictées? Qu'en dites-vous?
Le gouvernement provisoire du Timor oriental est instauré à la mi-décembre 1975. Il est composé de dirigeants de l'APODETI et de l'UDT. Dans le même temps, Vittorio Winspeare Guicciardi, le représentant spécial du secrétaire généralde l'ONU tente d'accéder à la zone contrôle par le Fretilin mais il reste bloqué à Darwin en Australie car les militaires indonésiens bloquent l'accès à la région. Le 31 mai 1976, une assemblée du peuple composée de membres choisis par les services de renseignement indonésien se réunit à Dili et accepte à l'unanimité l'Acte d'intégration. Ainsi, le 17 juillet, le Timor oriental devient officiellement la 17e province de la république d'Indonésie. Toutefois, l'occupation du Timor oriental reste un sujet de préoccupations publiques dans de nombreux pays dont le Portugal et les Nations unies n'ont jamais reconnu le gouvernement installé par les Indonésiens ou l'annexion de la région par l'Indonésie.
Ce monsieur Vittorio, là, vient d'Italie. L'Italie a, selon moi, aujourd'hui une très belle réputation. Premièrement, sa région administrative ressemble à une botte luxueuse. L'origine de l'Italie remonte à très longtemps, avant même la naissance d'à peu près tout ce qui fait l'essence de notre civilisation actuelle. Et l'Italie a même donné une idéologie inédite aux têtes carrées: le fascisme! Le Fretilin est un peu le pendant est-Timorais des autres groupes de résistants des divers idéologies capricieuses des têtes carrées. Au Timor oriental, ils ont Front révolutionnaire pour l'indépendance du Timor oriental. Et au Québec nous avons déjà eu le FLQ. Je n'aime pas ce qui est arrivé avec le FLQ. Mais puisque au Québec, au Canada, comme ailleurs dans ce monde, les dés de la démocratie sont pipés du fait que nous sommes civilisés, on peut alors suspecter le mot 'démocratie' d'être un simple masque pour le démocratisme, une autre idéologie! Vous ne croyez pas?
Pour les Américains, la présence coloniale des Portugais dans la région était vue comme anachronique, au moins depuis la mise en place des Nations Unies en 1945, et la défaite des Japonais. Les Américains ne vont pas condamner l' Inde, qui va envahir les colonies Portugaises en Inde entre 1954 et 1961. Une intégration du Timor Oriental à l' Indonésie semblait logique, vu que le territoire du Timor Oriental était minuscule, sans voisin souverain et indépendant proche, ce territoire étant perdu dans l'immense archipel Indonésien, d'autant plus que en 1963, l'ex Papouasie Néerlandaise était annexée à l' Indonésie.
Ouais, là-dedans, les Américains étaient coincés entre l'arbre et l'écorce, je dirais bien. D'un côté, ils veulent permettre au people du Timor oriental de rester libre. Mais de l'autre, à cause de l'idéologie industriel, ce peuple peuple était devenu lui aussi dépendant des progrès du système des idéologues. Donc, pas moyen de gagner cette bataille. Mais la guerre continue...
L'administration du président Américain Gerald Ford ne croyait pas en la viabilité de l'État du Timor oriental : pour les Américains, cet État, qui occupait l'est de l'île de Timor, face au géant indonésien, et son archipel immense posait problème, d'autant plus, que son plus proche voisin dans la région était l'Australie, à quelque 1 000 km plus au sud, et en traversant la mer. Pour les Américains, le Timor oriental n'était qu'un vestige, un « confetti » de l'histoire du colonialisme européen, « perdu » dans l'immense Asie du Sud-Est. De plus, pour les Américains, rattacher ce territoire à l'Indonésie était logique, vu que le Tétoum, langue locale parlée au Timor oriental, était aussi parlée au Timor occidental, sous souveraineté indonésienne. Cet État minuscule, face au géant indonésien était dès sa naissance menacé, d'autant plus que les Américains craignaient que cet État ne devienne communiste, en propageant les idées communistes en Indonésie, alors que en 1965, un coup de force militaire élimina peut-être entre 500 000 et 1 000 000 de communistes en Indonésie. Après 1992 et la chute de l'URSS, la position américaine changea car le danger communiste était écarté, ce qui pouvait engager l'indépendance du Timor oriental dés 1999. Pour ce qui concernait la Chine communiste, les Américains nouaient des relations diplomatiques et commerciales avec ce pays, dans les années 1970. Si les Chinois soutenaient les khmers rouges communistes au Cambodge, entre 1976 et 1979, ils ne pouvaient rien pour aider d'éventuels mouvements communistes dans ce minuscule territoire, perdu dans l'immense archipel au régime anti-communiste de Suharto. Dans les années 1990, les Chinois se rapprochèrent économiquement avec le régime de Suharto. Avec l'indépendance du Timor oriental en 2002, les Chinois craignent une influence accrue des Américains en Asie du Sud-Est, d'autant plus que les Chinois souhaitent toujours annexer Taïwan, après avoir récupéré Hong Kong et Macao aux Européens.
Après ses études à Yale, il fut admis au barreau du Michigan et ouvrit un cabinet d'avocats à Grand Rapids avec son ami Philip Buchen22. Il rejoignit les rangs d'un groupe de Républicains réformateurs appelé « Home Front » qui s'opposait à la machine républicaine locale dirigée par Frank McKay3. À la suite de l'attaque japonaise sur Pearl Harbor en décembre 1941, il s'engagea dans la marine américaine.
Le rôle de l'Australie est plutôt celui d'un pays médiateur : l'Australie, bien qu'éloignée, est le pays le plus proche du Timor oriental dans la région. Déjà, après 1949, elle avait acceptée de recevoir de nombreux colons néerlandais et eurasiens qui fuyaient l'Indonésie qui était devenue indépendante des Néerlandais. L'Australie, pays attaché aux valeurs des droits de l'homme, était le pays où de nombreuses ONG travaillant au Timor oriental étaient basées, et qui dénonçaient les exactions indonésiennes. Entre 1975 et 1999, l'Australie devint le premier pays de refuge pour les réfugiés du Timor oriental. En 1999, lors de l'indépendance du Timor oriental, l'Australie est vue comme le pays garant du nouveau pays (militairement), et le Timor oriental est de facto vu comme un protectorat australien par les nationalistes indonésiens, et un prolongement du colonialisme européen (l'Australie ayant Élisabeth II pour reine et chef de l'État).
Le 12 décembre 1975, l’Assemblée générale des Nations unies approuva une résolution selon laquelle, « après avoir entendu les déclarations des représentants portugais, en qualité de puissance coloniale, concernant les événements au Timor portugais […] déplore l’intervention militaire des forces armées indonésiennes au Timor portugais et demande au gouvernement indonésien de retirer sans délai ses forces armées du territoire timorais […] et recommande au conseil de sécurité de prendre des mesures urgentes pour protéger l’intégrité territoriale du Timor portugais ainsi que le droit inaliénable de son peuple à l’autodétermination.
Le 22 décembre 1975, le Conseil de sécurité des Nations unies a approuvé la résolution 384 déplorant les actions indonésiennes et regrettant que le Portugal n’ait pas respecté ses obligations en tant que puissance administrative. La résolution appelle toutes les nations et toutes les parties à respecter l’intégrité du Timor oriental et son droit à l’autodétermination. Elle exhorte aussi le secrétaire général des Nations unies à envoyer un de ses représentants pour évaluer la situation et décider si le Conseil reste saisi de la situation.
L'administration des affaires n'est rien d'autre qu'un vecteur d'efficacité capitaliste. Le capitalisme étant une idéologie, c'est tout-à-fait normal que le Portugal n'ait pas respecté à ce moment ses obligations hérités des têtes rondes lorsque cette nation était dirigée par ces dernières. Aussi simple que ça, comme manière de trancher dans les valeurs, pour des têtes carrées!
Daniel Patrick Moynihan, à l’époque ambassadeur américain à l'ONU, a écrit dans son autobiographie que « les États-Unis souhaitaient que les choses se passent comme elles se sont passées, et ont travaillé en ce sens. Le département d'État souhaitait que les Nations unies apportent la preuve de leur inefficacité dans toutes les mesures qu’elles ont entreprises [à l'égard de l'invasion du Timor oriental]. Cette tâche m’a été confiée, et je l'ai poursuivie avec un succès non négligeable"26. Plus tard, Moynihan a admis qu’en tant qu'ambassadeur américain à l'ONU, il a défendu une « honteuse » politique de la guerre froide à l'égard du Timor oriental.
Très intéressant. Vraiment très très très intéressant. Donc, les dés étaient pipés d'avance. L'ONU, mêmes avec ses efforts, ne pouvait rien faire contre les idéologues. Pour une tête ronde, le stygmate qu'apporte le mot "inefficacité" peut bien faire sourir. Mais pour une tête carrée, en revanche, c'est carrément le meurtre de son crédibilitisme, condition sine qua none pour lui ouvrir le portail vers l'admnistratisme, une autre idéologie!
Le Brésil, le plus grand pays lusophone au monde devient le parrain du nouvel État du Timor oriental auprès de l'ONU, fournissant le plus gros contingent de casques bleus sur place, et est l'un des premiers États au monde — avec le Portugal et l'Australie — à ouvrir une ambassade dans ce pays.
Comme quoi, y a pas juste le Canada dans ce monde pourri par les têtes carrées, pour faire des bonnes actions humanitaires ^^.
Selon Noam Chomsky, cette invasion aurait eu pour cause la présence de gisements de pétrole dans les mers du Timor et serait soutenue par les gouvernements d'Australie, des États-Unis, de la France et de la Grande-Bretagne qui auraient fourni de l'armement à l'Indonésie lors des périodes de massacres les plus critiques27. Afin d'appuyer cette théorie, Chomsky mentionne principalement :
- Le traité australo-indonésien (1989) autorisant l'exploitation des champs de pétrole.
- La reconnaissance officielle de « l'annexion » indonésienne du Timor par l'Australie.
De plus, Noam Chomsky a violemment critiqué la différence de traitement entre l'énorme couverture médiatique donnée par les médias occidentaux aux massacres du régime communiste des khmers rouges au Cambodge, et l'absence totale d'informations sur l'occupation du Timor oriental par l'Indonésie, soutenu par les États-Unis ; et ce malgré des massacres aussi violents28.
- La déposition à l'O.N.U. de Benedict Anderson, spécialiste de l'histoire de l'Indonésie.
C'est clair ici que les têtes carrées ont besoins de capturer beaucoup d'énergie pour féconder de nouvelles idéologies, qui à leur tours les influenceront pour capter encore plus d'énergie et ainsi de suite et ainsi de suite.
Donc, je ne juge pas les têtes carrées pour leur essence particulière et leur singularité toute charmante. Mais le problème, c'est que les têtes carrées, de par leurs divers actions dans le passé, nous donnent un exemple en or de ce qui va se passer dans notre futur, si on les laisse continuer leur petits caprices. Car caprices il y a ici, et il y en a beaucoup trop, à part de çá.
Un petit dernier, une réflexion sur le mot "caprice"...
https://fr.wiktionary.org/wiki/caprice(1558) Emprunté à l’italien capriccio (« frisson, caprice »).Volonté irréfléchie, soudaine et passagère.
Je sais pas pour vous, mais pour moi, tout système qui repose sur une base idéologique n'est rien d'autre qu'un caprice institutionnalisé!
Trouvé en cherchant >capricorne definition< dans 'mon' Google:
capricornenom masculin1.
Animal fabuleux, à tête de chèvre et queue de poisson.
Là, on le tient, et on LÂCHE surtout pas le morceau. Encore la cÂlisse de chèvre diabolique! ENCORE, CRISSE! Mais inquiétez-vous pas, nous avons toujours nos têtes rondes sur nos épaules. Notre destin à nous-autres ne s'est pas terminé en queue de poisson. C'est drôle, ça, hein?
Pour continuer votre aventure, je vous propose ce lien vers un article de blog/blogue/weblog/carnet, que je viens de découvrir justement en cherchant belzebuth dans Google, et que je n'ai pas encore tout lu: https://ysengrimus.wordpress.com/2016/05/07/quand-belzebuth-rencontre-mephistopheles/
💙💙
__________________________________________________________________________LEGAL
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Pis aussi, tout ce que j'ai moi-même généré de novo (les commentaires) sont aussi disponibles sous la même licence. Parce qu'on est toujours pour le moment sous le joug de la dictature des têtes carrées, c'est mieux de ne pas prendre de risques inutiles pour le moment!
Les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution partage à l’identique ; d’autres termes peuvent s’appliquer. Voyez les termes d’utilisation pour plus de détails.
Pour le capricorne, copié-collé de 'mon' Google, je ne sais pas quoi écrire.
Le lien vers l'article du blog est de pure administration auteuriale, je n''ai donc pas mon mot à dire aux divers quêteux qui pourraient lire ces petits caractères insignifiants.
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